
L'eau, plus lourde que l'air, se trouve naturellement à nos pieds. C'est en partant de ce constat que Victor Hugo écrivit un chapitre des "Misérables" intitulé : "Tempête sous un crâne", qui devait initialement être suivi de "Inondations sous les pieds" (non publié).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire